Notre ancien collaborateur Olivier Rousseau interviewait l’historien et romancier Olivier Delorme, dans la continuité de son ouvrage « 30 bonnes raisons de sortir de l’Europe ».
Un article plus détaillé sur l’ouvrage en question est disponible ici.
N’hésitez pas à retrouver Olivier Delorme sur son site web.
Liste des questions
0:00 Vous avez évoqué 30 raisons de sortir de l’Europe en 2016. Nous sommes en 2019, si vous vouliez ajouter des raisons supplémentaires de sortir de l’UE, quelles seraient-elles?
7:45 Est-il possible d’obtenir un jour, dans l’UE, une finance régulée et saine pour une situation économique pérenne? Et en dehors de l’UE?
18:04 Vous êtes pour la séparation des banques avec d’un côté les banques de crédit et de dépôt, et de l’autre les banques dédiées aux affaires. Cela doit-il ouvrir la voie à une nationalisation totale ou partielle des banques de crédit, ou estimez-vous que ça n’est pas nécessaire?
26:24 Certains journalistes et hommes politiques emploient le terme de « démocraties illibérales » pour qualifier les régimes, sur notre continent, qui ne portent pas une idéologie néolibérale et pro-Union européenne. Pensez-vous que ce terme d’ « illibéral » a une signification concrète en lui, ou ne s’agit-il que d’un élément de langage pour amalgamer tous ceux qui ne sont pas néo-libéraux, avec les « populistes » et les extrêmes?
35:31 Dans un débat face à François Asselineau, Emmanuel Todd évoque évoque sa vision, selon laquelle la France aurait intérêt à rester dans l’OTAN au sortir de l’UE, essentiellement pour des raisons stratégiques de politique étrangère. Avez-vous la même lecture?
À suivre :
- Partie 2 : Union Européenne – quelles solutions ?
- Partie 3 : Les Balkans et l’UE. (à venir)