Le renouveau gaulliste de l’Europe
L’Europe retrouve le point de vue du grand homme d’État français. Ce à quoi nous assistons actuellement en Europe est en réalité plus un renouveau du gaullisme qu’un renouveau de l’autoritarisme
L’Europe retrouve le point de vue du grand homme d’État français. Ce à quoi nous assistons actuellement en Europe est en réalité plus un renouveau du gaullisme qu’un renouveau de l’autoritarisme
Le refus de l’Allemagne d’adopter les « coronabonds » dans le contexte de la crise pourrait menacer la survie même de l’Union européenne.
La Chine doit arriver au point où les coûts sociaux et économiques de l’éradication du coronavirus par des méthodes totalitaires sont plus importants que le traumatisme qu’il y a à le laisser courir.
Depuis 2015, le flux de réfugiés fuyant les guerres sans fin au Moyen-Orient et en Afrique, dans lesquelles les États-Unis et les nations européennes sont engagés, vers l’Europe s’est poursuivi. La situation s’est transformée en une véritable crise et a entraîné une augmentation des tensions sociales dans de nombreux Etats membres de l’UE.
Il y a quelques années, très peu de gens comprenaient le concept derrière les révolutions de couleur. La situation à Hong Kong nous montre à nouveau ce que sont les révolutions de couleur menées par des ONG douteuses, s’inscrivant dans le cadre d’un Projet Démocratie élaboré par les élites de l’empire britannique.
Ce n’est un secret pour personne que depuis les élections de 2016, le Parti démocrate est dans un état de quasi-effondrement, victime de son propre orgueil, ayant perdu sa boussole morale avec des allégations non fondées du Russiagate ; ces accusations continuent comme un exercice futile du renversement de l’administration Trump.
L’accord de retrait permet simplement au Royaume-Uni d’entamer des pourparlers sur un accord commercial. Il nous permet de payer 33 milliards de livres sterling pour pouvoir y jouer. Moins de problèmes ont été résolus que ce que la plupart des commentaires semblent suggérer.
La saga Jeffrey Epstein se poursuit quand bien même le pédophile a été retrouvé pendu dans sa cellule à Manhattan. On peut se demander comment il a réussi à se suicider, si c’est bien le cas, puisqu’il aurait été sous surveillance à la prison et qu’on peut présumer qu’il avait été dépourvu des vêtements et accessoires qui auraient pu être utilisés à cette fin. Donc, il est mort, mais l’a-t-il fait lui-même ou l’a-t-on aidé ?
Le problème n’est pas le nombre. De fait, la démocratie consiste à dire non à bien plus de gens que deux millions de personnes. L’on dit déjà non à l’heure actuelle à 21 % des Espagnols qui s’expriment dans les sondages contre l’État des autonomies[2] et qui, dans un esprit impeccablement démocratique, acceptent avec résignation que leurs souhaits ne soient pas majoritaires.
Il ne s’agit pas de savoir si Boris Johnson va déclencher de nouvelles élections, mais quand et dans quelles circonstances elles auront lieu.
Les Américains ont foncé dans le vide. Ils ont courtisé cette nation avec de doux chuchotements. À moins que les Européens ne tentent eux-mêmes de les séduire – et je ne compterais pas là-dessus – Washington leur volera le trophée diplomatique sous le nez.
Voler les lauriers de la victoire était un acte de trahison nécessaire de la part des puissances occidentales afin de faciliter leur terrible guerre froide contre l’Union soviétique. La même trahison se poursuit aujourd’hui alors que Washington et ses alliés de l’OTAN tentent de mener une nouvelle et injustifiable guerre froide contre la Russie.
Le Royaume-Uni a encore un rôle majeur à jouer dans la politique étrangère du continent
Olivier Delorme, historien, romancier et essayiste expatrié en Grèce, a été interviewé par notre ancien rédacteur Olivier Rousseau, autour de son ouvrage « 30 bonnes raisons
Cette augmentation portera à plus de 5 000 le nombre total de forces américaines généralement déployées auprès de l’allié de l’OTAN pour dissuader la Russie.
La semaine dernière, le deuxième forum « une ceinture, une route » pour la coopération internationale s’est tenu à Pékin. Des dizaines de chefs d’État et de gouvernement ont participé au Forum, dont bien entendu l’invité principal, le président russe Vladimir Poutine. Dans le même temps, par rapport au précédent forum qui s’est tenu il y a deux ans en mai 2017, le nombre et la notoriété des participants étrangers impliqués ont raisonnablement augmenté. Si en 2017, en dehors de la Russie, les pays représentés étaient majoritairement du soi-disant « Tiers Monde », de nombreux dignitaires venus d’Europe et d’autres régions développées de la planète étaient maintenant présents.
Le monde est encore sous le choc de l’horreur causée par les attentats meurtriers à la bombe perpétrés au Sri Lanka par des fous
L’ordre mondial libéral, qui a duré de la fin de la Seconde Guerre mondiale à aujourd’hui, s’effondre rapidement. Le centre de gravité se déplace
Le peuple ukrainien en a tellement marre du nationalisme militariste et de la corruption endémique à Kiev qu’il a voté pour quelqu’un, n’importe qui,
Maintenant que l’enquête plus que bancale de 40 millions de dollars de M. Mueller est terminée et qu’elle n’a pas atteint son objectif initial (mettre
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